MELONI CHOQUE L’UE : PAS DE TROUPES EN UKRAINE !
Dans un coup de tonnerre qui secoue les fondations de l’Union européenne, la Première ministre italienne Georgia Maloney a catégoriquement refusé d’envoyer des troupes en Ukraine lors du sommet explosif de la Communauté politique européenne de 2025 à Tiranë, en Albanie. Alors que les tambours de guerre résonnent depuis Paris et Londres, Maloney se dresse seule, défiant la pression croissante pour une escalade militaire face à l’agression russe.
Ce sommet, sous le thème “Nouvelle Europe dans un nouveau monde”, a rassemblé 47 dirigeants, dont le président ukrainien Volodymyr Zelensky et le président de la Commission européenne Ursula von der Leyen. Cependant, c’est la déclaration audacieuse de Maloney qui a volé la vedette. “L’Italie a depuis longtemps déclaré qu’elle n’était pas disponible pour envoyer des troupes en Ukraine”, a-t-elle déclaré, qualifiant la coalition proposée par les dirigeants européens de “risquée et inefficace”.

Cette position audacieuse est le reflet d’une Italie fatiguée par la guerre, où plus de 60 % de la population s’oppose à l’envoi de troupes. Maloney, qui a déjà soutenu l’Ukraine par des aides militaires de plus de 2 milliards d’euros, refuse de plonger son pays dans un bourbier militaire dont les conséquences pourraient être désastreuses. Ses craintes vont au-delà des simples sondages d’opinion : des fuites de renseignement indiquent qu’elle redoute des représailles russes, notamment des cyberattaques.
La situation est exacerbée par le gel de l’aide militaire américaine sous l’administration Trump, qui a laissé l’Ukraine vulnérable. Les dirigeants européens, comme Emmanuel Macron et Keir Starmer, cherchent à former une coalition pour combler le vide laissé par les États-Unis, mais Maloney perçoit cela comme un piège visant à entraîner l’Europe dans un conflit prolongé.
Les tensions ont atteint un point culminant lors de ce sommet, où les discussions sur l’aide à l’Ukraine ont été entachées par des divergences profondes entre les “faucons” et les “colombes”. Alors que Macron et Starmer plaidaient pour des engagements militaires, Maloney a choisi de boycotter une réunion clé avec Zelensky, préférant établir des alliances régionales avec des pays comme l’Albanie.
Les conséquences de cette déclaration audacieuse sont déjà palpables. Les médias français qualifient Maloney de “guerrière réticente de l’Europe”, mais son refus de s’engager dans une escalade militaire résonne auprès du public italien, qui lui accorde une approbation de 70 % après le sommet. Pendant ce temps, les tensions entre les nations européennes s’intensifient, alors que les rumeurs d’une éventuelle réforme de l’OTAN circulent.
Alors que la crise ukrainienne continue de se développer, Maloney se positionne comme une médiatrice, proposant d’étendre l’article 5 de l’OTAN à l’Ukraine sans lui accorder une pleine adhésion. Cette approche pourrait offrir une solution pragmatique pour garantir la sécurité de l’Ukraine tout en évitant une implication militaire directe de l’Europe.
L’absence de consensus au sein de l’UE pourrait avoir des répercussions dramatiques. Si la coalition de Macron avance sans l’Italie, l’Europe risque de se diviser en deux camps, exacerbant les tensions internes. Pendant ce temps, les forces ukrainiennes, déjà affaiblies par le gel de l’aide, ont besoin de soutien plus que jamais.
L’initiative de Maloney pourrait bien inspirer d’autres pays, mais les dangers restent omniprésents. Les cyberattaques russes ont déjà augmenté, ciblant des infrastructures italiennes, et la situation demeure volatile. La question qui se pose désormais est de savoir si Maloney a sauvé l’Europe ou si elle l’a condamnée à un isolement dangereux.
Le monde attend de voir comment cette crise se déroulera, mais une chose est claire : l’unité de l’Occident est mise à l’épreuve comme jamais auparavant. La déclaration de Maloney à Tiranë pourrait bien être le tournant décisif dans cette lutte pour l’avenir de l’Europe.
