Nadège abandonne sa voiture en panne, laissée seule tandis que son compagnon et son fils montent dans le train et disparaissent. Deux jours plus tard, son corps sans vie gît près des rails. « Il est le premier à regretter d’avoir pris ce train. » Secrets noirs en train de se dévoiler !

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Mort de Nadège près d’une voie ferrée

Mort de Nadège près d’une voie ferrée : son compagnon est “le premier à regretter d’avoir pris le train”

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La disparition tragique de Nadège Klopcic dimanche dernier dans le Var soulève de nombreuses interrogations. Retrouvée morte près d’une voie ferrée, la piste de l’accident est privilégiée. Le comportement de son compagnon, Fabrice, suscite des critiques en ligne.

Nadège Klopcic a été retrouvée morte près d’une voie ferrée à Carnoules (Var), mardi 11 novembre, deux jours après l’annonce de sa disparition. Les circonstances du drame laissent planer beaucoup de questions même si la piste privilégiée est celle de l’accident.

Au moment des faits, Nadège Klopcic se trouvait avec son compagnon, Fabrice, et le fils de ce dernier. Après avoir eu un léger accident de voiture, Fabrice et son fils ont laissé Nadège seule sur la route pour prendre un train rapidement. Une attitude qui lui a vraisemblablement été reprochée par de nombreux internautes.

Sur sa page Facebook, un ami de Fabrice, Guillaume, a tenu à s’exprimer après le drame. “Ce que j’entends depuis mardi ne correspond pas à l’homme que je connais. Cette campagne de bashing autour de lui est tout bonnement insupportable.”

Guillaume décrit Fabrice, aide-soignant de 48 ans, comme un homme “gentil, bienveillant, le cœur tourné vers les autres, un professionnel de santé consciencieux”.

Contacté par Var-matin, il explique que Fabrice n’aurait “jamais pris le risque” de laisser sa compagne seule dans un endroit “dangereux” et rappelle que Pignans, le village où Nadège a disparu, est une petite commune paisible où les faits divers ne s’inscrivent pas dans le paysage local. Fabrice “devait ramener son fils à son ex-femme” dans le cadre de leur garde alternée, poursuit-il. “Il est certainement aujourd’hui le premier à regretter d’avoir pris le train pour rentrer.”